tout ce que nous voulons
les pleurotes arrivent en larmes
nos vies dans le panier
 
une vérité cafardeuse
sur leur nature
murmura-t-il en jouissant de ses grasses matinées
 
qu’une planète
sans destination ni compte de banque
nous avons pas mal d’outils
 

les PDG
la validité de la symbolique
me couper les yeux me les bleacher
 
si trafiqués soient-ils
la bêtise nous avions
baisse le trou avec ta bouche
 
il compte ses jours au centre de réadaptation militaire
je coupe tes cheveux pour y lire

l’heure d’avoir une crampe solide
sur nos coudes
dans la cour des grands
 
j’entends déparler de citations
première fois que le soleil brûle ba peau
Il était une fois
 
que tu veux manger
cette nuit seulement
comme autant de matins inutiles et connus
 

vous entrez dans une zone à risque
au chapitre des avions et des mausolées
celle-là s’est allumée
 
les éditeurs fonctionnent pour vrai
je dis la prudence cède à ma découverte
je t’invite dans mon pays
 
de lancer ses roches sa gousse sa forêt

my alcoholism reared from the most respectable cultural sources: and ferocious. nothing than masturbation. the night sky was gently lit, it was such a peace as you realize that one of them can approach
 
pressed. i am not. his groans as another déja-vu is my kami kaze urge our love is an old alcoholic: with our little tea cups on the royal path between the esophagus and the liver.

are you?
give you a word, an aid to thinking: grater.
and the unfamiliar is modelled on the familiar.
 
the myth of life on earth is a dream come true.the myth of life on earth is a dream come true.
a ticking mouth, wandering.
oh, the above is both prayer and command.
 
ordinary people will run away.
to live close to death is only practical.